Open Education

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Introduction (proposition d’éléments à faire figurer):

  • Au niveau mondial, la fin de la crise du covid annonce un changement de paradigme (voir par ex. Peters et al, https://doi.org/10.1080/00131857.2020.1777655 => métaphore du portail: “We can choose to walk through it, dragging the carcasses of our prejudice and hatred, our avarice, our data banks and dead ideas, our dead rivers and smoky skies behind us. Or we can walk through lightly, with little luggage, ready to imagine another world. And ready to fight for it”.
  • Au niveau des institutions, elles ont fait des investissements pendant cette période et doivent prendre des décisions sur l’avenir (e.g. licences zoom, salles installées pour la comodalité, valorisation du présentielle et utilisation intelligente du distanciel).
  • Au niveau des politiques, l’écologie, la transition numérique, la souveraineté numérique, etc. régissent la période actuelle 2021-2024 et il s’agit d’anticiper la période suivante en installant l’ouvert et le libre dans toutes ses dimensions selon les recommandations de l’UNESCO sur une science ouverte et sur les RELs par ex.
  • Au niveau des praticiens (enseignants-chercheurs et enseignantes-chercheuses), il sont à bout parce qu’ils ont des pratiques qui vont à l’encontre de la mission de formation des université (universel, ouvert) et le changement de paradigme est une opportunité à saisir. Le design de cours se fait de manière participative, en incluant toutes les parties prenantes et les types de savoir (voir par ex. Funk, J. (2021). Caring in Practice, Caring for Knowledge. Journal of Interactive Media in Education, 11(1). https://doi.org/10.5334/jime.648

Principes libristes

According to Global Industry Analysts (2010), the global e-learning market will reach $107 billion by 2015. However, it is not entirely clear how the MOOC approach to online education will make money. Most MOOC start-ups do not appear to have clear business models and are following the common approach of Silicon Valley start-ups by building fast and worrying about revenue streams later.

Some common approaches to generate revenue are considered by Coursera and other start-ups working in partnership with HEI, including: charging students a fee for certificates of participation, completion or even transcripts; providing premiumservices such as recruiting tools that link employers with students who have shown ability in a given area; and hilanthropic donations from individuals and companies. However, it is a significant challenge for partner universities to generate income in these ways. In established business models, universities have control of the customer value proposition in that theyn provide any recognition of learning and set tuition fees. For MOOCs, most participating institutions have decided that they will not offer credits as part of traditional awards for these courses, probably as a result of concerns about the quality of the courses and the downside risks posed to their branding. It would be also against the initial ideals of MOOCs if universities

started to charge tuition fees for their courses. Therefore, many institutions participating in MOOCs consider the courses they offer to be a branding and marketing activity at present.

(Li Yuan, 2013)

Culture de partage

Co-production / co-creation

Motivation (ou barrière) personnelle et institutionnelle

Financement implicite ou explicite d’institutions de formation ou d’organisations philanthropiques (toute création à un coût)

Niveaux d’ouverture

Publique, communauté, restreint, privé : ONLZurich.pptx

Free

“Gratuit”

L'utilisateur n'a pas à payer de frais pour accéder à la ressource ou l'utiliser et les coûts associés à la création de la ressource et/ou à son entretien sont pris en charge ailleurs, par exemple par le créateur ou le financeur (OpenMed Course. s. d.).

“Libre”

N'a pas de limites quant à la façon dont il peut être utilisé et fait référence au potentiel de réutilisation des ressources sous licence libre (OpenMed Course. s. d.).

“Open”

Généralement interprété comme l'absence - ou la limitation - des restrictions juridiques (mais aussi techniques) imposées aux utilisateurs pour utiliser, transformer et partager les ressources scientifiques (OpenMed Course. s. d.).

“autonomous”

La ressource a-t-elle besoin d’une plate-forme pour être exploitée (en ligne, hors ligne), lié aux restrictions techniques mentionnées sous “open”

“stateful” or  *intelligent*

La ressource génère-t-elle des données et du contenu et comment celà est-il stocké, des données personnelles sont-elles liées

Éléments philosophiques

Baker (2017) relève que pour définir l'ouverture en éducation, trois grandes approches ont été utilisées :

i)                 Rattacher le concept à l'histoire d'événements et de mouvements donnés pour transférer les valeurs y associées (e.g. le mouvement du logiciel libre ; le Moyen Age et la naissance des universités ; l’apprentissage auto-régulé)

ii)                Assoir l'ouverture comme un idéal philosophique ou conceptuel sous-jacent à un contexte donné pour les lui attribuer (e.g. culture participative ; bien commun) ;

iii)              Négocier l'ouverture de manière opérationnelle dans des contextes pratiques pour mettre l’accent sur les affordances possibles (e.g. les licences Creative Commons (voir Annexe 1 pour les détails).

Ces trois approches partagent un certain nombre de concepts. Il s'agit notamment du rôle de la liberté, de la justice, du respect, de l'ouverture en tant qu'attitude ou culture, de l'absence d'obstacles, de la promotion du partage, de l'accessibilité, de la transparence, de la collaboration, de l'agentivité, de l'auto-direction, de la personnalisation et d’une participation universelle[1] (Baker, 2017).


[1] Notre traduction de la définition opérationnelle proposée pp. 131-2 : « Commonalities between all of these efforts to define openness emphasize a variety of constructs. These include the role of freedom, justice, respect, openness as attitude or culture, the absence of barriers, promotion of sharing, accessibility, transparency, collaboration, agency, self-direction, personalization, and ubiquitous ownership.”